Type : Barquette marseillaise 


Gréement : un mât, une antenne, une voile latine (maestre), un foc (polacre) sur bout-dehors.


Matériaux : Coque et pont en bois  ; mât et antenne en bois.
Date et lieu de lancement :  1959  à Sète (chantier Candela)

Autres noms  : La Louve
Utilisation initiale : bateau de pêche  (coquillier ?)

Dernière nationalité connue : Française

Dernier port d'attache connu : Sète
Dernière utilisation connue : voilier de promenade et de pêche-plaisance  (privé)


Signification du nom : Chrisylvanat : début des prénoms des petites filles de Lucien Boyer, le 2éme propriétaire : Christine, Sylvie, Valérie, Nathalie.

Longueur hors-tout : m
Longueur de la coque : 8,6 m
Longueur à la flottaison : 6,6 m 
Largeur maximale :  2,3 m
Tirant d'eau maximal :  m
Tirant d'air : 5,3 m (mât) ; antenne de 9,5 m.
Déplacement : 1,9 t.
Surface maxi de voilure : 26 m² 

État : restauré,  régulièrement entretenu.
Avant : Incliné ; capian bleu ;  immatriculation sur le pavois : ST 215694
Arrière : pointu ;  Nom inscrit sur le pavois. Possibilité d'utiliser 2 safrans, un long et un court.
Coque : Blanc, pavois noir ; 

Superstructures : bateau ponté, pas de superstructures.
   
    Chrisylvanat a été lancé en 1959 pour un musicien amateur de pêche. Il était nommé La Louve et était gréé avec une grand-voile bermudienne (anneaux coulissant le long du mât) et un foc. Racheté en 1976 par M. Lucien Boyer, il fut rebaptisé Chrysylvanat en hommage à ses 4 petites filles (voir "origine du nom",ci-dessus).  siècle. Il a été restauré (changements de bordés). Les 2 fils de M. Boyer en ont hérité, puis il a été donné au beau-fils de l'un d'eux : Joël Coffic, qui en est l'actuel propriétaire. Il a à nouveau été restauré au début du XXIème siècle, et regréé avec une antenne et une voile latine ; le pont, qui avait été plastifié, a été refait en 2016.Ce bateau participe aux rassemblements de voiliers de la côte méditerranéenne et était à Escale à Sète au printemps 2018.
Type : barquette marseillaise

Gréement : un mât, une antenne, une voile latine (maestre) ; foc sur bout-dehors ; voiles marron.


Matériaux : Coque ) et pont en bois   ; mât et antenne en bois.
Date et lieu de lancement :  1972 à Balaruc (Hérault) au chantier Stento;

Autres noms  :
Utilisation initiale :  Bateau de pêche-plaisance

Dernière nationalité connue : Française

Dernier port d'attache connu : Sète

Dernière utilisation connue :  bateau de promenade privé.

Signification du nom : La Voilà : 

Longueur hors-tout : 7,6 m
Longueur de la coque : 6,4 m
Longueur à la flottaison :  m
Largeur maxi : 2,3 m 
Tirant d'eau maximal :  m 
Tirant d'air : m .
 Déplacement :  t.
Surface maxi de voilure :   m² 

État : restauré, bien entretenu.

Avant : presque vertical; capian rouge ; bout-dehors.

Arrière : pointu ; safran à aiguillots et fémelots, barre franche.
Coque : blanche ; liston et lisse rouges ; pavois jaune

Superstructures : bateau  ponté, pas de superstructures.
  
 
La Voilà, construite en 1972,  était une barque à moteur ; elle a été mise à l'eau à la place où elle est encore amarrée, face à la chambre de commerce de Sète.. Elle a obtenu le 2ème prix du Patrimoine maritime à St Tropez en 2006.Elle a été restaurée en 2006-2007 et équipée d'un gréement latin classique.
Type : barque catalane.
Gréement : un mât, une antenne, une voile latine (maestre) ; voiles blanches (écrues).


Matériaux : Polyester ; mât en bois, antenne en fibre de verre.
Date et lieu de lancement :  1996 et 1997 à Mèze, sur l'étang de Thau (chantier Buonomo).
Autres noms  : aucun
Utilisation initiale : bateau de plaisance.

Dernière nationalité connue : Française

Dernier port d'attache connu : Palavas les Flots.

Utilisation actuelle : bateaux de promenade associatifs (Latina cup)

 
Signification du nom : APHRODITE, JEANINE, YVONNE : des prénoms féminins. Le premier est peu porté voire pas du tout ; c'est le nom de la déesse grecque de l'Amour, appelée Vénus par les Romains.

Longueur hors-tout : 10,5  m
Longueur de la coque : 10,15 m
Longueur à la flottaison :  m
Largeur maxi : 3,2 m
Tirant d'eau maximal :  0,8 m
Tirant d'air :  m

Déplacement : 6 t.
Surface maxi de voilure : 75 m² 

État : récentes, bien entretenues.

Avant : Incliné 
Arrière : pointu ;safran à aiguillots et fémelots, barre franche.
Coque : blanche ; liston,  pavois et lisse de couleurs différentes, permettant de distinguer les 3 unités.
Superstructures : bateaux  pontés.
   
   Ces trois barques catalanes identiques sont des répliques, construites à la fin du XXème siècle. du Saint-Pierre,  barque catalane typique datant de 1909 et classé monument historique. Elles ont été construite à l'aide d'un moule du Saint-Pierre, dont le qualités de construction et les performances sont remarquables et qui navigue encore Le travail a été réalisé sous la direction du petit-fils de Luigi Aversa, le constructeur du bateau original. Yvonne (1996) a été financée par la Région Languedoc-Roussillon, Aphrodite (1997) par l'agglomération de Montpellier et Jeanine (1997) par la ville et le casino de Palavas. Elles sont gérées par l'association Latina Cup et naviguent tous les dimanches de l'année lorsque le temps le permet.
Le site de Latina Cup ici
Type : barque catalane
Gréement : un mât, une antenne, une voile latine (maestre), polacre (foc) sur bout-dehors rétractable ; voiles blanches.


Matériaux : Coque et pont en bois membrures en platane, bordés en chêne)  ; mât et antenne en bois.
Date et lieu de lancement : 1947 à Sète, au chantier Cammarota.
Autres noms  : ?

Utilisation initiale : bateau de pêche à la sardine (?),ou bateua d epêche-plaisance au départ de Valras.

Dernière nationalité connue : Française

Dernier port d'attache connu : Sète ( Hérault)

Dernière utilisation connue :  bateau de promenade privé.


Signification du nom :  Laurie : le prénom de la fille du  propriétaire actuel.
Longueur hors-tout :  7,25 m
Longueur de la coque :  8,9 m
Longueur à la flottaison : 6,85 m
Largeur maxi : 2,38 m
Tirant d'eau maximal : 0,9 m (safran)
Tirant d'air : 6,8 m

Déplacement : 3,5 t.
Surface maxi de voilure : m² 

État : restaurée (reconstruite ?) ; bien entretenue.

Avant : étrave verticale ; capian marron  ; numéro sur le pavois  : ST 330011.


Arrière : pointu ; safran à aiguillots et fémelots, barre franche ; nom sur le pavois. 

Coque : blanche, liston bleu clair, pavois verni, lisse bleu foncé.
 

Superstructures : bateau  ponté, sans superstructures.
 
  Laurie a été construite à Sète en 1947  et a servi à la pêche jusqu'en 1996. Achetée comme épave en 1998 et restaurée, la barque a subi un accident de grutage en 2004. Cassée en 2, elle a été à nouveau restaurée, elle a été re-nommée Laurie par son propriétaire actuel vice-président de l'association  "Lou capian deThau". Elle participait à Escale à fête en 2018.
   Le site de Laurie ici.
   Laurie est labellisée B I P.
Type : barquette, pointu provençal
Gréement : un mât, une antenne, une voile latine (maestre) ; foc (un grand ou un petit, selon la météo) ; voiles blanches.

Matériaux : Coque (acajou) et pont en bois (chêne et pin)  ; mât et antenne en bois.
Date et lieu de lancement :  1991, lors de la fête votive du village, à Saint-Aygulf, par Raphaël Autièro.

Autres noms  : aucun.
Utilisation initiale :  bateau de petite pêche et de promenade
Dernière nationalité connue : Française
Dernier port d'attache connu : Saint-Aygulf (Fréjus, Var)
Dernière utilisation connue : bateau de petite pêche et de promenade

Signification du nom : Saint-Aygulf : Le nom de son port d'attache, dans le quartier ouest  de Fréjus
 
Longueur hors-tout : 5,5 m
Longueur de la coque : 5,5 m
Longueur à la flottaison :  m
Largeur maxi : 2,1 m 
Tirant d'eau maximal :  0,25 m 
Tirant d'air :  m .
 Déplacement :  t.
Surface maxi de voilure : 24  m² 

État : restauré, bien entretenu.

Avant : presque vertical ; capian bleu ; pas de bout-dehors.

Arrière : pointu ; safran à aiguillots et fémelots, barre franche.

Coque : blanche ; pavois en acajou verni.

Superstructures : bateau  ponté, pas de superstructures.
  
 
    Saint-Aygulf  a été construit dans le cadre du concours "bateaux des côtes de France"  a participé à Brest 1992. Il y a obtenu, avec l'autre bateau de St-Aygulf, Ville de Fréjus, le premier prix des bateaux méditerranéens. Il a également été transporté jusqu'à Venise. Il participe à de nombreuses fêtes dans le port de Saint-Aygulf, bien sûr, et aussi jusqu'à St-Raphaël ou Fréjus. A noter que ce port est difficile à trouver et peu accueillant pour le visiteur car entouré de grillages, comme le montrent les photos...
St-Aygulf et Ville de Fréjus dans le port de St-Aygulf.

     Le site internet du Saint-Aygulf ici.